Vie scolaire

Il s’agit du bâtiment de l’ancienne école des garçons édifié en 1885-1886 et agrandi à plusieurs reprises, notamment entre 1901 et 1911 et encore en 1927.
L’édifice constitue le pendant de l’école des filles qui existe toujours de l’autre côté de la place de l’Eglise Notre Dame de Franchepré (aujourd’hui, collège privé).
Pendant toute la période 1890-1981, dirigée par des frères marianistes, l’école des garçons de Génibois scolarise une grande part des enfants de la cité érigée par les Forges de Joeuf; cependant les élèves viennent aussi du reste de la ville et même des communes environnantes. Après la seconde guerre mondiale, la structure est complétée par un CEG (cours complémentaire) qui fonctionnera jusqu’à la fermeture de l’établissement.
Au cours des années soixante-dix, les sociétés sidérurgiques se désengageant des œuvres sociales, la gestion des écoles passe à une association (AEPJ), soutenue encore par Mme Maurice DE WENDEL, jusqu’en décembre 1981. La commune rachète alors le bâtiment et conformément à la loi Maixandeau, les classes primaires et maternelles ainsi que les enseignants rejoignent le giron de l’école publique, dès le début d’année 1982.

L’école communale ouvre ses portes à la rentrée d’octobre 1907. Cet événement est l’aboutissement d’une longue démarche débutée au siècle précédent. En 1899, en effet, 50 garçons s’entassent dans la salle exiguë de la mairie-école située près de l’église Sainte Croix. Il n’y a pas d’école publique de filles; celles-ci sont scolarisées dans des bâtiments de la rue des Cités-Basses par Mme DE WENDEL.

La municipalité est sommée par les autorités académiques de créer une école publique de filles. Avec l’arrivée aux affaires du gouvernement COMBES, les choses s’accélèrent. En raison des fermetures des écoles congéganistes, les édiles joviciens sont obligés de voir grand. Et à partir de 1904, c’est l’édification d’un vaste ensemble mairie-école qui est donc erigé, en même temps que l’hôtel de ville et la place destinée au marché hebdomadaire. Les locaux des écoles se voient agrandis à plusieurs reprises; en 1956, Joeuf-Mairie se voit adjoindre une école maternelle séparée, elle-même transformée et agrandie en 1987.

L’école communale ouvre ses portes à la rentrée d’octobre 1907. Cet événement est l’aboutissement d’une longue démarche débutée au siècle précédent. En 1899, en effet, 50 garçons s’entassent dans la salle exiguë de la mairie-école située près de l’église Sainte Croix. Il n’y a pas d’école publique de filles; celles-ci sont scolarisées dans des bâtiments de la rue des Cités-Basses par Mme DE WENDEL.

La municipalité est sommée par les autorités académiques de créer une école publique de filles. Avec l’arrivée aux affaires du gouvernement COMBES, les choses s’accélèrent. En raison des fermetures des écoles congéganistes, les édiles joviciens sont obligés de voir grand. Et à partir de 1904, c’est l’édification d’un vaste ensemble mairie-école qui est donc erigé, en même temps qu l’hôtel de ville et la place destinée au marché hebdomadaire. Les locaux des écoles se voient agrandis à plusieurs reprises; en 1956, Joeuf-Mairie se voit adjoindre une école maternelle séparée, elle-même transformée et agrandie en 1987.

Edifié au début des années trente dans le parc situé derrière la salle François de Curel, le bâtiment permet aux maîtres des forges de disposer d’une école de garçons et d’une école de filles pour les quartiers du vieux Joeuf. L’école de ravenne deviendra mixte au début des années 70 et passe dans le patrimoine communal en 1982.