Malgré notre souhait de proposer un mode garde pour les enfants prioritaires, le cadre règlementaire et législatif rend impossible la mise en œuvre d’un tel dispositif.
La Municipalité le déplore et aurait apprécié, de la part des services de l’Etat, davantage de souplesse dans cette période pourtant définie par le Président de la République comme un temps de guerre.
